
Le référencement payant sur Google et Bing et pourquoi il faut confier cela à une entreprise spécialisée
5 août 2024Dans un monde numérique saturé de données, il ne suffit plus de mesurer : il faut mesurer juste. Choisir les bons indicateurs, ce n’est pas empiler des chiffres, c’est éclairer les bons leviers pour décider, ajuster, progresser.
Un indicateur, ou KPI (Key Performance Indicator), a pour mission de traduire un objectif stratégique en donnée observable. Mais encore faut-il savoir quoi observer… et pourquoi.
L’indicateur utile : ni trop, ni trop peu
Un bon KPI se reconnaît à plusieurs qualités : il est clair, pertinent, fiable, quantifiable et surtout actionnable. Il doit vous permettre de réagir si la courbe s’inverse, d’ajuster vos efforts, ou de célébrer vos succès. À l’inverse, un indicateur flou, coûteux à obtenir ou non corrélé à vos objectifs risque de vous faire perdre plus de temps que vous n’en gagnez.
Prenons un exemple : beaucoup d’entreprises se focalisent sur le trafic de leur site web. Mais ce chiffre seul ne dit rien. Ce qui compte vraiment, c’est la conversion (le passage à l’action), ou le taux de rebond (les visiteurs qui quittent le site immédiatement). Ce sont ces indicateurs-là qui méritent d’être suivis, car ils racontent une histoire utile.
Adapter les indicateurs à vos objectifs
Les bons indicateurs ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Une entreprise artisanale qui cherche à fidéliser ses clients n’aura pas les mêmes priorités qu’un e‑commerce en quête d’audience nationale.
Pour un objectif commercial ou marketing, on s’intéressera au taux de transformation, au panier moyen, au coût d’acquisition client ou encore au retour sur investissement publicitaire (ROAS). Si l’objectif est financier, ce seront plutôt la marge nette, le seuil de rentabilité ou la trésorerie disponible qui prendront le devant de la scène.
Le secret ? Ne pas dépasser 5 indicateurs à la fois. Sinon, on regarde tout… sauf l’essentiel.
Choisir, suivre, faire évoluer
Choisir les bons indicateurs, c’est un processus vivant. On commence par définir ce qu’on veut accomplir, puis on sélectionne les indicateurs qui servent cet objectif. Ensuite, on les suit régulièrement (chaque semaine, chaque mois…) à l’aide d’outils simples : un tableur, un CRM, un tableau de bord visuel. Et on ajuste au fil du temps, car les priorités évoluent, tout comme les contextes.
En conclusion
Mesurer pour mieux piloter, oui. Mais surtout, mesurer pour agir avec lucidité. Chez Dôme Forez Stratégie & Digital, nous accompagnons nos clients pour qu’ils choisissent des indicateurs alignés, efficaces, et au service de leurs ambitions. Parce qu’un chiffre, bien choisi, peut changer la trajectoire d’une entreprise.